Quelques extraits d'articles parus dans la presse lors des différentes expositions réalisées...

Ugine, le 25 mars 2004
Madame NEUVEUX-BENOÎT Danielle
L e Cénacle
Les Granges, route du col de Tamié
73460 TOURNON


Service Culture & Enfance
Tél : 04.79.37.34.12
R.G./A.J.2004/243

Objet :
Exposition du 6 au 26 Mars 2004

P.J. :
Un article de presse

Madame,

Dans le cadre de la Quinzaine Culturelle, vous avez exposé vos œuvres dans le hall de la Maison Perrier de la Bâthie du 6 au 20 Mars 2004.

Je tiens, par la présente, à vous féliciter pour la qualité et l’originalité de votre exposition qui a été très appréciée par les visiteurs. De nombreuses personnes nous on félicités pour cette nouvelle initiative culturelle.

Vous voudrez bien trouver ci-joint un article de presse du journal « La Savoie ».

Au plaisir de vous rencontrer, je vous prie de recevoir, Madame, mes salutations les meilleures.


MAIRIE D’UGINE
Emmanuel LOMBARD
Adjoint au Maire
Délégué à la Culture, à l’Enfance
à la Jeunesse et au Social


DANIELLE NEUVEUX-BENOÎT, artiste plurielle
Artiste professionnelle, Danielle Neuveux-Benoît réside à Tournon près d’Albertville. Reconnue internationalement,
Elle enseigne son art au cœur des montagnes savoyardes tout en participant activement à la vie culturelle du bassin
albertvillois.

Danielle Neuveux-Benoît est une artiste peintre qui participe grandement à la vie culturelle du bassin albertvillois. Une présence dans différentes expositions (comme celle organisée à Ugine en début d’année pour la quinzaine culturelle) qui atteste d’une réelle volonté de transmettre les règles de son art. Actuellement, elle est installée sur la route du col de Tamié . L’atelier LE CENACLE accueille des élèves souhaitant s’initier à toutes les disciplines : huile, aquarelle, pastels, sanguine, lavis, etc.
Danielle Neuveux-Benoît est née à Paris en 1937. Elle grandit au sein d’un clan artistique où se côtoient les relieurs d’art et des peintres de talent dont son grand-père, Edouard Neuveux, qui appartient au cercle de Modigliani. Elle reste sept ans aux Arts Décoratifs de Paris, une formation intensive lui est dispensée. Simultanément, elle suit les cours de l’école du Louvre, section archéologie et histoire de l’art, discipline pour laquelle elle obtient le premier prix de la ville de Paris lors de son exposé « Sources picturales de nos maîtres ». Après avoir enseigné dans le privé à Grenoble, l’artiste se fixe en 1966 en Haute-Savoie, où elle crée son atelier « Le Cénacle ».
Installée tout d’abord au plateau d’Assy, puis dans le bassin annécien, Danielle Neuveux-Benoît rejoint ensuite Tournon. Pendant plus de 20 ans, 1 100 élèves ont bénéficié de son enseignement.
Désireuse de continuer à transmettre son art tout en affinant sa créativité le peintre a réalisé son rêve en 1999 en créant son refuge artistique, petite maison d’hôtes, où elle reçoit toute l’année des personnes qui souhaitent bénéficier de son enseignement.
Ses œuvres, huiles sur toiles, aquarelles et pastels, traitent le plus souvent des thèmes proches de l’antiquité, de l’orientalisme et du fantastique. Les œuvres de ce peintre de l’imaginaire sont reconnues à l’échelon national et international. Diffusées par la Société des Terres et Arts à Paris, ses aquarelles ont été exportées dans de nombreux pays : Suisse, Italie, Pologne, Grande-Bretagne, Etats-Unis, Maroc, Japon, Bulgarie, Arabie Saoudite, etc.



Le festi’livre, un rendez-vous culturel et festif très attendu dans le
cadre d’une quinzaine culturelle qui accueille également le peintre
Danielle Neuveux-Benoît à la maison Perrier de La Bâthie.
Dans les pages d’une belle manifestation
UGINE. Samedi 13 et dimanche 14 mars au complexe sportif d’Ugine, et dans le cadre de la quinzaine culturelle, le 5ème festi’livre ouvre les pages d’une manifestation culturelle unique dans la région.
Deux journées où enfants et parents pourront s’adonner au plaisir de la lecture, découvrir des libres pour enfants, romans, recueils de poésie, livres d’aventure ou photographes.
Des ateliers proposés gratuitement, des animations riches et variées, c’est cela le fameux festi’livre d’Ugine, sorte de coup de projecteur sur une version particulière de la culture, entre fructueuses rencontres et échanges enrichissants entre exposants et visiteurs.
« Au travers de cette grande manifestation culturelle intergénérationnelle » explique Emmanuel Lombard, adjoint à la culture et grand ordonnateur de l’événement, « nous souhaitons développer et promouvoir le livre sous toutes ses formes ».
Conjuguant le mot populaire au mot qualité, fil rouge de deux journées symbolisés par un succès d’affluence qui ne se dément pas depuis sa création, le festi’livre c’est « durant deux jours, le complexe sportif placé sous le signe de la lecture plaisir, un immense terrain d’exploitation pour les enfants, les jeunes et les adultes passionnées d’ouverture et de découverte ».
Plusieurs éditeurs, libraires et auteurs indépendants assureront la promotion et la vente des ouvrages (BD, livres pour enfants, romans, recueils de poèmes, documents sonores…).

Plus de 50 auteurs, illustrateurs, poètes, scénaristes, photographes, artistes, témoins ou simples passionnés (Français, Suisses, Belges) seront présent pour échanger avec les visiteurs et dédicacer leurs ouvrages. Des animations gratuites seront proposées : calligraphie chinoise, reliure, origami, atelier manga (BD japonaise), mots croisés, espaces de lectures, contes, expositions, jeu de piste, autant de modes d’expression qui permettront aux visiteurs d’être acteurs de leurs propres loisirs.
« En 2003, nous avons accueilli plus de 3000 visiteurs » rappelle à juste titre Emmanuel Lombard, heureux qu’un tel événement porte sa réussite bien au-delà du magnifique et majestueux Mont-Charvin qui domine la cité uginoise, une manifestation qui met en lumière également le travail des établissements scolaires : depuis plusieurs mois, les élèves travaillent autour du livre, réalisent des écrits, des romans, des illustrations …
Le festi’livre s’inscrit dans le cadre de la quinzaine culturelle. Ainsi, le peintre Danielle Neuveux-Benoît exposes ses œuvres au rez-de-chaussée de la maison Perrier de la Bâthie. Ses œuvres, huiles sur toiles, aquarelles et pastels traitent le plus souvent des allégories poétiques suivant des thèmes proches de l’antiquité, de l’orientalisme et du fantastique. Artiste professionnelle née à Paris en 1937, elle grandit au sein d’un clan artistique où se côtoient des relieurs d’art et des peintres de talent.
Après avoir enseigné dans le privé à Grenoble, Danielle Neuveux se fixe en 1966 en Haute-Savoie où elle crée son atelier « le Cénacle ».
Installé tout d’abord au plateau d’Assy, puis dans le bassin annécien, et actuellement à Tournon en Savoie sur la route du col de Tamié, l’atelier « le Cénacle » a accueilli depuis une vingtaine d’années plus de 1100 élèves souhaitant s’initier à toutes les disciplines : huile, aquarelle, pastels, sanguine, lavis, etc. Désireuse de continuer à transmettre son art tout en affinant sa créativité, le peintre a réalisé son rêve en 1999 en créant son refuge artistique, petite maison d’hôtes où elle reçoit toute l’année des personnes qui souhaitent bénéficier de son enseignement.

 

"LE DAUPHINE " [11 Octobre 1998]

"Copeaux de lune"
au centre Jean-vilar

Ce vendredi, le Centre Jean-Vilar est ses responsables accueillaient, dans la salle Georges Brassens, l'artiste-peintre Danielle Neuveux-Benoît, pour la premère fois à Bellegarde.
Vernissage à la clé, réunion chaleureuse aussi de peintres descendus de Haute-Savoie ou venus simplement de Bellegarde. Ce fut une fête de famille en quelque sorte, pour honorer une dame couronnée par de multiples prix, habituée de nombreux salons, poète et peintre, peintre et poète, musicologue à ses heures, puisque telles on retrouve ces "disciplines" bien insérées au creux de l'art.
L'art c'est un tout, et l'artiste qui ne manque pas de mentionner les écrivains peut être ainsi définie, si tant est qu'on puisse l'enfermer dans une définition à travers le propos de Gide qui déclare: "Lumière profuse, splendeur, l'été s'impose et contraint toute âme au bonheur".
Lumière profuse, il n'est et il ne sera jamais désuet pour un poète de parler d'étoile. Ainsi, Danielle Neuveux-Benoît passera à Bellegarde, vive, lumineuse, pétillante de vie et fort sympathique.
Qu'on se rassure: elle demeurera au creux de son exposition jusqu'au 31 octobre du lundi au vendredi de 14 à 20 heures, le samedi de 14 à 18 heures. Les visiteurs bénéficiant, comme en de pareilles circonstances, de l'entrée libre.

L'accueil de l'artiste

La municipalité, excusée, étant retenue par ailleurs, c'est Michel Suro, directeur de la M.J.C., qui devait accueillir Danielle, et ce pour la première fois dans l'enceinte du Centre. Catherine Brunet, habituellement se faisait le chantre des artistes, mais ce vendredi Michel Suro fut véritablement à la hauteur pour décrire les compositions -aquarelles, pastels, huiles et poésies- de Danielle Neuveux, lesquelles tiennent de l'allégorie, allégorie empreinte -toute en finesse et en touches délicates- d'orientalisme, de mythologie et de fantastique.
Michel Suro a aussi tenu à souligner la mise en espace des oeuvres (au total 64), magnifiquement réalisée, celle-ci due à M. Benoît, lui-même photographe d'art, et ancien marchand de couleurs et à sa dame. Les textes accompagnant les toiles les réhaussaient, leur donnaient de l'amplitude et un singulier relief.
Les visiteurs pourront découvrir seulement des oeuvres de très belle facture, et de magnifique délicatesse, mais aussi au détour des noms d'écrivains bien connus ou moins connus comme Renée Vivien, Giosue Garducci.
Une exposition donc à découvrir pour rêver, méditer, pour entrer dans une autre dimension et ce jusqu'au 31 octobre inclus.

"LE DAUPHINE LIBERE" [15 Octobre 1998]

Une oeuvre et ses exigences

Danielle Neuveux-Benoît , un peintre assoifé de rencontres, expose jusqu'à la fin du mois au centre Jean-Vilar.
Ses "Copeaux de lune" invitent à l'évasion

Vous voulez découvrir les oeuvres d'une artiste de qualité? alors rendez vous sans plus tarder au centre Jean-Vilar où est exposé le magnifique résultat du travail de Danielle Neuveux-Benoît, dont le vernissage eut lieu il y a peu. A travers quelques cinquante-quatre tableaux, huiles sur toiles, aquarelles et pastels, l'ensemble réuni sous le titre poétique "Copeaux de lune", le peintre montre comment et avec quel talent elle est parvenue à apprivoiser l'imaginaire -le moteur à temps plein de la force créatrice- et à le poser avec une délicatesse infinie, des touches légères et des couleurs chantantes. Au total, des toiles qui reflètent le rêve, la vie, l'art dans ce qu'il a de plus noble, quand c'est l'exigence qui anime le coeur et conduit la main. Le nec plus ultra de Danielle Neuveux-Benoît est forcément dans l'enceinte du centre Jean- Vilar au creux de la salle Georges Brassens, puisque l'artiste a fait sienne cette ligne de conduite, cette règle de vie, dans une formule qu'elle se plaît à mettre en avant: "Attention! Tout ce qui vous peignez peut être retenu contre vous!"... L'exigence est avant toute chose, toute considération, toute technique, avant le projet de couleurs, d'esquisses, d'ébauches. Exigence, le mot-clef de Danielle Neuveux-Benoît.

Un parcous tout en couleurs également poétique

Un grand-père peintre, un père -Edouard Neuveux, originaire de la ville aux portes d'or- également doué et qui l'initia; en vérité, la future artiste avait de qui tenir. Bien sûr sa vie était tracée, l'horizon comme dégagé, mails il faut travailler, mener un combat pour chaque oeuvre, évoluer. Pour le talent, le don, remercions la providence. Une toile, une oeuvre, une rélisation, c'est à chaque fois aller au bout de soi-même, "sortir ses tripes" lâche Danielle avec passion. Et l'on imagine l'artiste qui exalte les forces éclatantes de la vie et ses engagements, souffrante, peinante, exigeante, encore et toujours! Il fallait véritablement être exigeante pour obtenir le premier prix d'Histoire de l'Art de la ville de Paris, et ce face à douze concurrents, pour décrocher le diplôme des Arts décoratifs et de l'Ecole du Louvre. Artiste, humaniste, accueillante, poète à ses heures, à chaque minute de son existence, puisqu'elle chante Charles d'Orléans, Renée Vivien, entre autres, Danielle ne pouvait que se tourner vers les autres, pour essaimer, divulguer son savoir; elle ouvre donc un atelier baptisé "le Cénacle", et du plateau d'Assy, à Annecy, à Saint-Jorioz, à Sevrier, et enfin à Lathuille, donna à plus de 1000 élèves "l'abstrait devenu réel, ce quelque chose de l'âme qui échappe au temps".
Avec un mari qui la soutient dans son action, Danielle rêve d'enseigner autrement, et d'accueillir encore, mais cette fois dans un atelier-refuge en montagne, un public qui sera initié aux côtés de l'artiste. Un projet que l'amoureuse de Sisley, Rembrandt, de Paul Géraldy, des eaux calmes et dormantes, étonnament réveuse, doit prochainement mettre en forme, et ce dans les lointaines Pyrénées. Nous lui souhaitons pleine réussite dans son entreprise.
Ceux et celles qui veulent apprendre, recevoir des conseils de l'artiste, présente jusqu'au 31 octobre inclus au centre Jean-Vilar, peuvent le faire en se branchant sur Internet, en tapant très exactement: http://www.chez.com/cenacle.


"LE DAUPHINE LIBERE", Janvier 1992
( Invitée d'honneur de la municipalité de Faverges)
 

    "Danielle Neuveux-Benoit est un peintre "poète": elle peint ce qu'elle écrit; elle écrit ce qu'elle peint. C'est un peintre musique: elle traduit les chants et les sons de la terre par des couleurs "sonores" et elle met en scène des sagas lyriques. C'est un peintre des éléments: elle traduit de mythiques nuages qui voyagent sur les âmes. Elle ajoute un peu d'air: ce sont des brises douces et fraîches qui respirent sur ses toiles, dans des grands ciels qui font rêver d'éternité. D'un oeil romantique, elle fait frémir les arbres, les rassemble dans un univers où, comme le dit le poète, tout n'est "qu'ordre et beauté, luxe calme et volupté"

     " C'est ainsi que le peintre Bricotte présente Danielle Neuveux-Benoit....
Nous ne saurions rien ajouter à ces quelques lignes, si ce n'est: prenez quelques instants, allez découvrir la beauté parmi les quelques morceaux choisis de ses oeuvres que vous offre un peintre vrai...."

"LE DAUPHINE LIBERE", Juin 1992
(Casino d'Aix-les-Bains)

     "...Danielle Neuveux-Benoît est une délicate coloriste. Toutes les toiles qu'elle présente sont empreintes d'une poésie qui enveloppe le visiteur dès la première approche. Elle comprend la beauté et s'en imprègne. Sa peinture, qu'elle travaille au couteau léger, a une fluidité qui lui donne accès aux sujets les plus difficiles, comme ceux qui relèvent davantage du rêve que de la réalité. ...
Le bonheur de contempler: c'est comme cela qu'on pourrait définir cette exposition qu'il faut absolument voir...."

"AFFAIRES SAVOYARDES" N° 703 20 juin 1992

     "Le peintre Danielle Neuveux-Benoît qui expose ses huiles sur toiles et aquarelles jusqu’au 30 juin au Casino d’Aix-les-Bains « Le Grand Cercle », n’a pas sa salle au Louvre. Il n’empêche que ses tableaux sont maintenant cotés comme des titres en Bourse, des titres qui ne baisseront plus à la corbeille....
...Elle a créé son univers divin, mariage d’amour entre la réalité et la féérie...Une clé des songes qui ouvre toutes les portes de l’enchantement...."


    "LE DAUPHINE LIBERE"
    [CHÂTEAU DE CLERMONT, Août 1988]
         

    "Chaque tableau est un poème, une attirance. On pénètre dans une sorte de mystère qui retient le regard et la pensée...[...]Une féminité incomparable[...] La sérénité actuelle mais une impatience vers une insaisissable autre chose...
         [...]son tempérament la conduit non seulement à dépasser toutes les facilités, c'est-à-dire les "copies" de la nature mais à composer de l'imaginaire pour que ce soit encore plus beau et des thèmes en harmonie picturales somptueuses mais encore à harmoniser les mots en poèmes ou les notes en musique.
         Tout cela procède de la même démarche où se mêlent les sens, le coeur et l'esprit."

"LE MESSAGER" Août 1988

     ""...Les Atlantes forment le thème de la superbe exposition de peinture que propose Danielle Neuveux jusqu'au 31 août, au second étage du château de Clermont.
     "Ces habitantes du continent disparu sont-elles peintes par une des leurs? [...] Les traits des visages, les paysages infinis, l'atmosphère se dégageant des toiles sont d'une telle force, qu'on n'est pas étonné d'entendre l'artiste dire: "C'est l'illusion d'une civilisation éprise d'infini".
     "L'artiste a rendu au-delà du superbe la subtilité d'un autre monde [...] Le pinceau au toucher léger a donné toute l'énigme, la douceur, l'immatériel, l'étrange et la tendresse typiquement féminine à ces visages de magiciennes du jour et de la nuit. On est, l'espace d'un moment, inclus dans le monde d'ailleurs des Atlantes, et l'on s'y sent bien. [...] l'exposition de Clermont est à voir sans faute.

"L'ESSOR SAVOYARD" Août 1988

     "...[les Atlantes] révèlent à chacun un univers mystérieux et étrange, où la notion de temps perd son importance, puisque celle du bien-être s'impose dès le premier regard.[...]
     Les mouvements feutrés deviennent évanescents et apportent à l'ensemble de chacune des oeuvres une sérénité déconcertante tant la facture est emplie d'une grande technicité et d'un indéniable talent.[...]
     En lui offrant la possibilité de présenter au grand public une partie de son oeuvre, le Conseil Général de la Haute-Savoie, propiétaire du Château de Clermont, ne s'était pas trompé et a su ouvrir le chemin de la renommée à cette artiste hors du commun..."


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