Quelques extraits d'articles parus dans la presse lors des différentes expositions réalisées...
Objet : P.J. : Dans le cadre de la Quinzaine Culturelle, vous avez exposé vos œuvres dans le hall de la Maison Perrier de la Bâthie du 6 au 20 Mars 2004. Je tiens, par la présente, à vous féliciter pour la qualité et l’originalité de votre exposition qui a été très appréciée par les visiteurs. De nombreuses personnes nous on félicités pour cette nouvelle initiative culturelle. Vous voudrez bien trouver ci-joint un article de presse du journal « La Savoie ». Au plaisir de vous rencontrer, je vous prie de recevoir, Madame, mes salutations les meilleures.
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DANIELLE NEUVEUX-BENOÎT,
artiste plurielle Artiste professionnelle, Danielle Neuveux-Benoît réside à Tournon près d’Albertville. Reconnue internationalement, Elle enseigne son art au cœur des montagnes savoyardes tout en participant activement à la vie culturelle du bassin albertvillois. Danielle Neuveux-Benoît est une artiste peintre qui participe grandement à la vie culturelle du bassin albertvillois. Une présence dans différentes expositions (comme celle organisée à Ugine en début d’année pour la quinzaine culturelle) qui atteste d’une réelle volonté de transmettre les règles de son art. Actuellement, elle est installée sur la route du col de Tamié . L’atelier LE CENACLE accueille des élèves souhaitant s’initier à toutes les disciplines : huile, aquarelle, pastels, sanguine, lavis, etc. Danielle Neuveux-Benoît est née à Paris en 1937. Elle grandit au sein d’un clan artistique où se côtoient les relieurs d’art et des peintres de talent dont son grand-père, Edouard Neuveux, qui appartient au cercle de Modigliani. Elle reste sept ans aux Arts Décoratifs de Paris, une formation intensive lui est dispensée. Simultanément, elle suit les cours de l’école du Louvre, section archéologie et histoire de l’art, discipline pour laquelle elle obtient le premier prix de la ville de Paris lors de son exposé « Sources picturales de nos maîtres ». Après avoir enseigné dans le privé à Grenoble, l’artiste se fixe en 1966 en Haute-Savoie, où elle crée son atelier « Le Cénacle ». Installée tout d’abord au plateau d’Assy, puis dans le bassin annécien, Danielle Neuveux-Benoît rejoint ensuite Tournon. Pendant plus de 20 ans, 1 100 élèves ont bénéficié de son enseignement. Désireuse de continuer à transmettre son art tout en affinant sa créativité le peintre a réalisé son rêve en 1999 en créant son refuge artistique, petite maison d’hôtes, où elle reçoit toute l’année des personnes qui souhaitent bénéficier de son enseignement. Ses œuvres, huiles sur toiles, aquarelles et pastels, traitent le plus souvent des thèmes proches de l’antiquité, de l’orientalisme et du fantastique. Les œuvres de ce peintre de l’imaginaire sont reconnues à l’échelon national et international. Diffusées par la Société des Terres et Arts à Paris, ses aquarelles ont été exportées dans de nombreux pays : Suisse, Italie, Pologne, Grande-Bretagne, Etats-Unis, Maroc, Japon, Bulgarie, Arabie Saoudite, etc. |
Le festi’livre, un rendez-vous culturel et festif très attendu dans le cadre d’une quinzaine culturelle qui accueille également le peintre Danielle Neuveux-Benoît à la maison Perrier de La Bâthie. |
Dans les pages d’une belle
manifestation UGINE. Samedi 13 et dimanche 14 mars au complexe sportif d’Ugine, et dans le cadre de la quinzaine culturelle, le 5ème festi’livre ouvre les pages d’une manifestation culturelle unique dans la région. Deux journées où enfants et parents pourront s’adonner au plaisir de la lecture, découvrir des libres pour enfants, romans, recueils de poésie, livres d’aventure ou photographes. Des ateliers proposés gratuitement, des animations riches et variées, c’est cela le fameux festi’livre d’Ugine, sorte de coup de projecteur sur une version particulière de la culture, entre fructueuses rencontres et échanges enrichissants entre exposants et visiteurs. « Au travers de cette grande manifestation culturelle intergénérationnelle » explique Emmanuel Lombard, adjoint à la culture et grand ordonnateur de l’événement, « nous souhaitons développer et promouvoir le livre sous toutes ses formes ». Conjuguant le mot populaire au mot qualité, fil rouge de deux journées symbolisés par un succès d’affluence qui ne se dément pas depuis sa création, le festi’livre c’est « durant deux jours, le complexe sportif placé sous le signe de la lecture plaisir, un immense terrain d’exploitation pour les enfants, les jeunes et les adultes passionnées d’ouverture et de découverte ». Plusieurs éditeurs, libraires et auteurs indépendants assureront la promotion et la vente des ouvrages (BD, livres pour enfants, romans, recueils de poèmes, documents sonores…). |
Plus de 50 auteurs, illustrateurs, poètes,
scénaristes, photographes, artistes, témoins ou simples
passionnés (Français, Suisses, Belges) seront présent
pour échanger avec les visiteurs et dédicacer leurs ouvrages.
Des animations gratuites seront proposées : calligraphie chinoise,
reliure, origami, atelier manga (BD japonaise), mots croisés,
espaces de lectures, contes, expositions, jeu de piste, autant de modes
d’expression qui permettront aux visiteurs d’être
acteurs de leurs propres loisirs. |
"LE DAUPHINE " [11 Octobre 1998] "Copeaux de lune" Ce vendredi, le Centre Jean-Vilar est ses responsables
accueillaient, dans la salle Georges Brassens, l'artiste-peintre Danielle
Neuveux-Benoît, pour la premère fois à Bellegarde. L'accueil de l'artiste La municipalité, excusée, étant
retenue par ailleurs, c'est Michel Suro, directeur de la M.J.C., qui devait
accueillir Danielle, et ce pour la première fois dans l'enceinte
du Centre. Catherine Brunet, habituellement se faisait le chantre des
artistes, mais ce vendredi Michel Suro fut véritablement à
la hauteur pour décrire les compositions -aquarelles, pastels,
huiles et poésies- de Danielle Neuveux, lesquelles tiennent de
l'allégorie, allégorie empreinte -toute en finesse et en
touches délicates- d'orientalisme, de mythologie et de fantastique. |
"LE DAUPHINE LIBERE" [15 Octobre 1998] Une oeuvre et ses exigences Danielle Neuveux-Benoît , un peintre assoifé
de rencontres, expose jusqu'à la fin du mois au centre Jean-Vilar. Vous voulez découvrir les oeuvres d'une artiste de qualité? alors rendez vous sans plus tarder au centre Jean-Vilar où est exposé le magnifique résultat du travail de Danielle Neuveux-Benoît, dont le vernissage eut lieu il y a peu. A travers quelques cinquante-quatre tableaux, huiles sur toiles, aquarelles et pastels, l'ensemble réuni sous le titre poétique "Copeaux de lune", le peintre montre comment et avec quel talent elle est parvenue à apprivoiser l'imaginaire -le moteur à temps plein de la force créatrice- et à le poser avec une délicatesse infinie, des touches légères et des couleurs chantantes. Au total, des toiles qui reflètent le rêve, la vie, l'art dans ce qu'il a de plus noble, quand c'est l'exigence qui anime le coeur et conduit la main. Le nec plus ultra de Danielle Neuveux-Benoît est forcément dans l'enceinte du centre Jean- Vilar au creux de la salle Georges Brassens, puisque l'artiste a fait sienne cette ligne de conduite, cette règle de vie, dans une formule qu'elle se plaît à mettre en avant: "Attention! Tout ce qui vous peignez peut être retenu contre vous!"... L'exigence est avant toute chose, toute considération, toute technique, avant le projet de couleurs, d'esquisses, d'ébauches. Exigence, le mot-clef de Danielle Neuveux-Benoît. Un parcous tout en couleurs également poétique Un grand-père peintre, un père -Edouard
Neuveux, originaire de la ville aux portes d'or- également doué
et qui l'initia; en vérité, la future artiste avait de qui
tenir. Bien sûr sa vie était tracée, l'horizon comme
dégagé, mails il faut travailler, mener un combat pour chaque
oeuvre, évoluer. Pour le talent, le don, remercions la providence.
Une toile, une oeuvre, une rélisation, c'est à chaque fois
aller au bout de soi-même, "sortir ses tripes" lâche
Danielle avec passion. Et l'on imagine l'artiste qui exalte les forces
éclatantes de la vie et ses engagements, souffrante, peinante,
exigeante, encore et toujours! Il fallait véritablement être
exigeante pour obtenir le premier prix d'Histoire de l'Art de la ville
de Paris, et ce face à douze concurrents, pour décrocher
le diplôme des Arts décoratifs et de l'Ecole du Louvre. Artiste,
humaniste, accueillante, poète à ses heures, à chaque
minute de son existence, puisqu'elle chante Charles d'Orléans,
Renée Vivien, entre autres, Danielle ne pouvait que se tourner
vers les autres, pour essaimer, divulguer son savoir; elle ouvre donc
un atelier baptisé "le Cénacle", et du plateau
d'Assy, à Annecy, à Saint-Jorioz, à Sevrier, et enfin
à Lathuille, donna à plus de 1000 élèves "l'abstrait
devenu réel, ce quelque chose de l'âme qui échappe
au temps". |
"LE DAUPHINE LIBERE", Janvier 1992 "Danielle Neuveux-Benoit
est un peintre "poète": elle peint ce qu'elle écrit;
elle écrit ce qu'elle peint. C'est un peintre musique: elle
traduit les chants et les sons de la terre par des couleurs "sonores"
et elle met en scène des sagas lyriques. C'est un peintre des
éléments: elle traduit de mythiques nuages qui voyagent
sur les âmes. Elle ajoute un peu d'air: ce sont des brises douces
et fraîches qui respirent sur ses toiles, dans des grands ciels
qui font rêver d'éternité. D'un oeil romantique,
elle fait frémir les arbres, les rassemble dans un univers
où, comme le dit le poète, tout n'est "qu'ordre
et beauté, luxe calme et volupté"
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"LE DAUPHINE LIBERE", Juin 1992
"...Danielle
Neuveux-Benoît est une délicate coloriste. Toutes les
toiles qu'elle présente sont empreintes d'une poésie
qui enveloppe le visiteur dès la première approche.
Elle comprend la beauté et s'en imprègne. Sa peinture,
qu'elle travaille au couteau léger, a une fluidité qui
lui donne accès aux sujets les plus difficiles, comme ceux
qui relèvent davantage du rêve que de la réalité.
... |
"AFFAIRES SAVOYARDES" N° 703 20 juin 1992 "Le peintre
Danielle Neuveux-Benoît qui expose ses huiles sur toiles et aquarelles
jusqu’au 30 juin au Casino d’Aix-les-Bains « Le Grand Cercle »,
n’a pas sa salle au Louvre. Il n’empêche que ses tableaux sont
maintenant cotés comme des titres en Bourse, des titres qui ne
baisseront plus à la corbeille.... |
"LE DAUPHINE LIBERE" "Chaque tableau est un poème, une attirance.
On pénètre dans une sorte de mystère qui retient
le regard et la pensée...[...]Une féminité incomparable[...]
La sérénité actuelle mais une impatience vers
une insaisissable autre chose...
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"LE MESSAGER" Août 1988 ""...Les
Atlantes forment le thème de la superbe exposition de peinture
que propose Danielle Neuveux jusqu'au 31 août, au second étage
du château de Clermont. |
"L'ESSOR SAVOYARD" Août 1988 "...[les Atlantes]
révèlent à chacun un univers mystérieux
et étrange, où la notion de temps perd son importance,
puisque celle du bien-être s'impose dès le premier regard.[...] |
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